Un amendement gouvernemental en ce sens a été présenté lors de l’examen en première lecture du projet de loi “climat et résilience” par le Sénat. Rejeté par les sénateurs, il pourrait être remis sur le tapis lors des débats en deuxième lecture à l’Assemblée nationale, qui a le dernier mot en matière législative.

La ministre de l’Environnement Barbara Pompili, qui défendait le texte devant les sénateurs, a souhaité aller vers une “préservation globale des plages” contre ce type de publicité, invoquant le fait que “les vacanciers ont droit à un peu de tranquillité”. “On n’interdit pas la publicité par avion sur les plages pour qu’elle revienne par bateau”, a-t-elle déclaré, pour justifier le fait que les embarcations publicitaires étaient désormais aussi dans le collimateur, en plus des aéronefs.